Catastrophe du car de Millas : que s'est-il vraiment passé ? » : ce mercredi 10 novembre 2021 sur W9 - Fémin Actu LaRussie a déconnecté du réseau ukrainien la centrale nucléaire de Zaporijia, la plus grande d'Europe. Une opération condamné par Volodymyr Zelensky dans son allocution jeudi soir. Peuaprès 16h, un autobus de transport scolaire avait été percuté par un TER sur le passage à niveau n°25 de la ligne de Perpignan à Villefranche, sur la commune de Millas. Sous l’impact, le car Irisbus Récréo avait été coupé en deux. Le bilan est lourd puisqu’on dénombre six morts et douze blessés graves, dont la conductrice Vousvoulez regarder Catastrophe du car de Millas : que s'est-il vraiment passé ? ? C'est par ici ! Catastrophedu car de Millas Replay - Catastrophe du car de Millas Replay: vous avez ratés un épisode de Catastrophe du car de Millas ? Ici, sur Replay Guide, vous pouvez regarder une nouvelle fois tous les épisodes de Catastrophe du car de Millas. TV Replay TF1 Replay France 2 Replay France 3 Replay Canal Plus Replay Arte Replay M6 Replay Gulli Replay W9 Replay 8Q8NQ. tele, Act, Vid 11 Décembre 2018 Rédigé par Les Infos Vidéos et publié depuis Overblog Retour sur la "Catastrophe du car de Millas Que s'est-il vraiment passé ?" ce soir à 21h00 sur W9, présenté par Nathalie RENOUX. Jeudi 14 décembre 2017, 16h00, au collège Christian Bourquin de Millas dans les Pyrénées-Orientales, l'heure de la fin des cours a sonné. Devant l'établissement scolaire, un autocar attend les 23 collégiens habitant les communes voisines. Plus que quelques minutes de trajet, et chacun rentrera chez soi. Mais en cet après-midi d'hiver l'autocar n'arrivera jamais à destination… Que s'est-il vraiment passé ? Un an après la catastrophe, et alors que les familles des victimes sont sans réponse, W9 lève le voile. 16h03, route de Thuir, à la sortie de Millas. Tandis que le car scolaire traverse le passage à niveau n°25, un TER s'engage sur la voie ferrée et percute violemment le véhicule. La collision est telle que le bus se coupe en deux. ? Une véritable scène de guerre?», déclarera le préfet de la région. L'accident coutera la vie à 6 enfants et fera 17 blessés. Toute la ville plonge dans le chagrin et l'incompréhension comment un tel drame a-t-il pu se produire ? Interrogée par les enquêteurs, la conductrice de l'autocar, une mère de famille de 48 ans, affirme que les barrières étaient levées au moment du choc. Seulement, des automobilistes témoins de la scène vont venir contredire cette version. De même, la SNCF assure qu'il n'y a eu aucun dysfonctionnement technique. Alors qui dit vrai ? S'agit-il d'une erreur humaine ou d'une défaillance du passage à niveau ? C'est ce que vous découvrirez grâce aux nombreuses révélations de ce documentaire aux témoignages inédits. Partager cet article Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous Le 18/12/2017 à 1535 MAJ à 2019Un panneau de signalisation, quelques mètres avant le passage à niveau de Millas, dans les Pyrénées-Orientales, le 16 décembre 2017. - Raymond Roig - AFPTrois enquêtes ont été ouvertes pour déterminer les circonstances de la collision mortelle entre un TER et un car scolaire jeudi dernier à Millas, dans les barrières du passage à niveau n°25 de Millas étaient-elles levées ou fermées au moment de la collision entre un TER et un car scolaire? Ou seulement l’une d’entre elles? Le dispositif d’alerte et la signalétique du passage ferroviaire restent au cœur de l'enquête sur le drame survenu jeudi dernier dans les Pyrénées-Orientales, qui a coûté la vie à six enfants, dont le dernier vers 20h ce lundi. Cette catastrophe a fait également dix-sept blessés dont la conductrice du car. Pour cinq collégiens, le pronostic vital est toujours engagé. Trois enquêtes ont été ouvertes. L'une, judiciaire, est sous l'autorité du procureur. Une autre, administrative, est menée par le Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre BEA-TT du ministère des Transports. La troisième est interne à la par le procureur de la République à Marseille, la conductrice du car scolaire a assuré aux enquêteurs que "les barrières étaient levées". Un témoignage corroboré par les déclarations d’une collégienne, placée derrière la conductrice dans le bus."Elle m’a bien confirmé, elle me l’a confirmé encore aujourd’hui, que la barrière était ouverte. La conductrice du car est passée. Etant donné que c’était ouvert, elle s’est engagée", a rapporté sur BFMTV la grand-mère de cette élève du collège témoin de la scène interrogé sur notre antenne affirme lui aussi que la barrière qui intéresse les enquêteurs était ouverte, sans signal sonore ni visuel pour interdire le passage du véhicule, et que l’autre barrière était éléments prélevés sur la scène de la collisionVendredi, Christian Faur, gérant de l’entreprise propriétaire du car scolaire, a assuré que sa salariée avait "traversé en confiance et sécurité le passage à niveau barrière relevée et feux éteints", critiquant au passage les déclarations de la soir, la société ferroviaire avait en effet indiqué que "selon des témoins, le passage à niveau avait fonctionné normalement", tout en attendant que "cela soit confirmé par l'enquête". Le conducteur du train a également affirmé que les barrières étaient procureur de la République à Marseille a noté vendredi que "les témoignages n’étaient pas tous concordants mais très majoritairement en faveur de barrières fermées"."Il faut relever que les éléments matériels qui ont pu être recueillis sur place et notamment le bloc d'articulation de la barrière mettent celle-ci en position fermée", a-t-il de plus expliqué. Toutefois, le bloc a été récupéré pour être analysé avant de confirmer une quelconque moyens techniquesDans un premier temps, certains ont avancé une photographie censée prouver que la barrière était ouverte au moment de l’accident. Néanmoins, l’image a été prise après la collision et la SNCF affirme que la réouverture d’une barrière après le passage d’un train est se poursuit donc pour déterminer les circonstances exactes de la collision. Un drone va notamment être dépêché sur place, avec un pilote, pour prendre des photos en autocar va aussi simuler le chemin emprunté par la conductrice, avec des caméras à l’intérieur pour reconstituer son champ de vision au moment et à l'endroit de l' plus, les enquêteurs vont utiliser un laser afin de modéliser la scène en trois dimensions et "figer" les éléments encore sur place, afin de pouvoir faire des simulations par la suite. A Millas, le bus scolaire a été coupé en deux. — N. Bonzom / Maxele Presse Le 14 décembre 2017, la collision entre un TER et un car scolaire a causé la mort de six collégiens, sur un passage à niveau, à Millas Pyrénées-Orientales.Près de trois ans après le drame, le trafic ferroviaire a repris lundi matin, entre Prades et Villefranche-de-Conflent. Il avait été interrompu depuis l’accident. Ce fut une attente très, très longue qui ne s’est jamais produite en France », a confié Enric Balaguer, le président de Train en Têt, l’association qui œuvrait pour le retour de la ligne. Jusqu’ici, les habitants et les touristes prenaient le bus, mais c’était deux fois plus TER en prov de Perpignan est arrivé ce matin à Villefranche, après près de 3 ans d'absence, sous les applaudissements nourris de l'Association Train en Têt, de J-L Gibelin, vice-président régional et du Comité d'usagers Train Jaune. Vive le train, vive le retour du train ! GUERRERO Monique GUERREROMonique November 16, 2020 Le dernier tronçon encore ferméIl s’agit du dernier tronçon encore fermé, depuis le drame du 14 décembre 2017. Les autres avaient pu rouvrir petit à petit, notamment entre Perpignan et l’Ille-sur-Têt, en mai dernier. Ce dernier tronçon ferroviaire n’avait pas pu ouvrir jusqu’ici aux trains car un glissement de terrain, lors de la tempête Gloria, au début de l’année, l’avait fortement endommagé. Des travaux très complexes » avaient été engagés par la SNCF. l'essentiel Les conclusions des dernières expertises médicales ont été rendues dans le cadre de l'enquête sur l'effroyable collision entre un bus scolaire et un TER, qui a ôté la vie à six collégiens le 14 décembre 2017 à Millas. Les causes exactes de la terrible collision entre un bus scolaire et un TER, qui a ôté la vie à six collégiens le 14 décembre 2017 à Millas, ne semblent pas véritablement s’éclaircir ou se préciser au fil des différentes expertises menées depuis plus d’un an et demi. Du moins, ces analyses écartent-elles les diverses pistes, les unes après les autres. Primo, les dysfonctionnements du passage à niveau, de la circulation et d’autres équipements ferroviaires ont été exclus par les divers rapports, dont celui du BEA-TT bureau d’enquêtes sur les accidents de transport terrestre, rendu public le 17 mai dernier. Le scénario le plus probable, selon le BEA-TT, est qu’à aucun moment, la conductrice du bus, NDLR n’a perçu l’état fermé du passage à niveau […] ». Et il convient de rechercher les raisons possibles de cette non-perception d’un danger ». Pour Me Jehanne Collard, l’avocate de quelques familles de victime, la raison était pourtant déjà très claire et sans appel. Dans un communiqué à l’ensemble des médias ce 17 mai, elle précisait que seule une défaillance de la conductrice du bus peut expliquer pourquoi elle s’est engagée au moment où le train arrivait ». Comportement, s’indignait-elle, qui était directement imputable aux effets secondaires du Zopiclone, le somnifère qu’elle prenait depuis plusieurs années ». Et l’avocate marseillaise de réclamer encore, dans un autre communiqué du 13 juin, la mise en examen du médecin » qui avait prescrit ce traitement. Activité pharmacologique négligeable » Or, les conclusions des dernières expertises médicales sur ce sujet, effectuées sur la conductrice à la demande d’une partie civile, contredisent cette version. Et confirment unanimement, le premier examen psychiatrique réalisé en janvier 2018. À savoir, elles réfutent tout lien de causalité entre l’accident survenu le 14 décembre à 16 heures et le somnifère pris la veille vers 20 heures par la conductrice. Vu ce délai et le faible taux résiduel, le Zopliclone n’a pu agir sur l’appareil ORL de la conductrice », indique un premier médecin. Un autre spécialiste ajoute qu’il n’est pas possible de dire que l’absorption de substances, dont ont été retrouvées des traces résiduelles le Zopiclone, mais aussi l’hydroxyzine pour lutter contre l’anxiété mineure qui a été ingérée deux à trois jours auparavant, a pu induire un trouble visuel identifiable susceptible d’être à l’origine de l’accident ». Enfin, selon une nouvelle psychiatre, la concentration sanguine inférieure à 20 mg/ml juste après les faits doit être considérée comme d’activité pharmacologique négligeable. On peut conclure à l’absence de retentissement de la prise de Zopiclone sur les capacités de conduite » de l’intéressée. Laquelle, par ailleurs, n’apparaît pas pour la psychologue comme une personnalité ni irresponsable, ni inconséquente ». Une nouvelle porte vient donc de se fermer. Mais pour laisser quelle réponse ? Et quelle responsabilité ? Je n’ai aucun commentaire à faire. Je n’ai jamais cru à ces histoires », réagit simplement Me Jean Codognes, l’avocat de la conductrice qui ne varie pas dans sa position ». Et qui maintient que les barrières étaient levées. Dans l’attente des dernières expertises techniques, toujours en cours… Publié le 21/12/2017 à 0718 , mis à jour à 1651 La cérémonie des obsèques des victimes de la collision de Millas, présidée par l’évêque de Perpignan-Elne, Mgr Turini, s'est déroulée ce jeudi matin à partir de 9 h 30, à la salle polyvalente de Saint-Féliu-d’Avall. Vidéos Sophie Babey Vidéo Michel Clementz Tweets sur StFeliu fromlindependant 25 prêtres et diacres l’ont assisté. 600 places avaient été réservées pour les familles et les officiels,. Un écran géant a retransmis également la cérémonie à l’extérieur de la salle polyvalente. L Le préfet des Pyrénées-Orientales a pris la parole pour donner lecture d’un message adressé par le président Emmanuel Macron aux familles des victimes. "La France entière aujourd'hui se tient" aux côtés des familles en deuil après la catastrophe de Millas, a déclaré le président Emmanuel Macron par la voix du préfet. "Rien ne pourra consoler l'immense détresse des familles frappées par la perte de leur enfant", a écrit le chef de l'Etat. "Je veux assurer aux familles et à leurs proches que la France entière aujourd'hui se tient à leurs côtés dans la tristesse et la douleur". "C'est dans ces moments tragiques que la France doit apporter à ses citoyens meurtris dans leur chair, la solidarité et l'aide dont ils ont besoin", a encore dit le chef de l'Etat. Dans son message, le président a remercié les secouristes, les gendarmes et les élus "qui se sont unis" lors du drame. "Ce que la nation a su réunir autour d'eux pour porter assistance ne doit pas se désunir", a-t-il ajouté. "Dans les semaines et les mois qui viennent, la mobilisation doit demeurer. Aujourd'hui, le mot de fraternité qui appartient à notre devise nationale prend tout son sens, la République doit se tenir aux côtés de ceux qui souffrent pour que, à leur douleur profonde, ne s'ajoutent pas les obstacles pratiques qui ne manqueront jamais de se présenter. Je veillerai personnellement à ce que cette solidarité nationale soutienne ceux qui en ont besoin", a-t-il déclaré. Le président a adressé "au nom de la République, aux familles et à tous ceux qui les entourent, mes sentiments émus et chaleureux". A l'issue de ce message, la foule a été invitée à quitter la salle polyvalente et les jardins pour laisser les familles se recueillir avant l'inhumation qui aura lieu dans la plus stricte intimité. L’État leur a également fait savoir ce mercredi qu’il prendrait en charge l’intégralité des frais d’obsèques. Rassemblement et minute de silence à la grande mosquée de Perpignan À l’issue d’une prière rituelle privée en mémoire de Yonas, un rassemblement se tiendra cet après-midi, à 13 h 30, à la grande mosquée de Perpignan. Une minute de silence sera observée dans la cour du lieu de culte en l’honneur de toutes les victimes de l’accident.

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