Cettequittance annule tous les reçus qui auraient pu ĂȘtre Ă©tablis prĂ©cĂ©demment en cas de paiement partiel du montant du prĂ©sent terme. Elle est Ă  conserver pendant trois ans par le locataire (article 7-1 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989). Eneffet, l'article 14 de la loi du 24 mars 2014, modifiant la loi du 6 juillet 1989, dispose que les contrats en cours Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi demeurent soumis aux dispositions qui leur Ă©taient applicables, Ă  l'exception de certains textes. Il est ainsi, notamment, du nouvel article 17-1 de la loi du 6 juillet 1989, qui prĂ©cise que " 14Laloi de 1975 concernait les institutions ; loi du 10 juillet 1989 protection des mineurs maltraitĂ©s ; loi du 17 juin 1998 relative Ă  la prĂ©vention et Ă  la rĂ©pression des infractions sexuelles ainsi qu’à la protection des mineurs ; loi du 16 novembre 2001 relative Ă  la lutte contre les discriminations ; loi du 4 mars 2002 sur l’autoritĂ© parentale. Les droits affichĂ©s. 47L Enl’absence de cause rĂ©elle et sĂ©rieuse dans le licenciement, l’employeur s’expose Ă  des sanctions prĂ©vues par la loi et dĂ©cidĂ©es par le juge Ă  L’article L122-14-4 du Code du travail. Les salariĂ©s qui travaillent dans des entreprises occupant plus de onze salariĂ©s bĂ©nĂ©ficient de l’article L1235-3 du Code du travail. Article14 de la loi du 6 juillet 1989 pour logement sociaux. Suite au dĂ©cĂšs de ma mĂšre chez qui je vivais avec mon frĂšre (depuis plus d'un an) je souhaite rester dans le logement social qui est un T5. C'Ă©tait il y a 2 semaine que le malheur nous a touchĂ©. Mais la responsable du secteur ou je vis (gironde habitat) me dit que je ne peux UaCy. Lorsque des Ă©lĂ©ments laissent supposer que le logement est abandonnĂ© par ses occupants, le bailleur peut mettre en demeure le locataire de justifier qu'il occupe le logement. Cette mise en demeure, faite par acte d'huissier de justice, peut ĂȘtre contenue dans un des commandements visĂ©s aux articles 7 et 24. S'il n'a pas Ă©tĂ© dĂ©fĂ©rĂ© Ă  cette mise en demeure un mois aprĂšs signification, l'huissier de justice peut procĂ©der, dans les conditions prĂ©vues aux articles L. 142-1 et L. 142-2 du code des procĂ©dures civiles d'exĂ©cution, Ă  la constatation de l'Ă©tat d'abandon du logement. Pour Ă©tablir l'Ă©tat d'abandon du logement en vue de voir constater par le juge la rĂ©siliation du bail, l'huissier de justice dresse un procĂšs-verbal des opĂ©rations. Si le logement lui semble abandonnĂ©, ce procĂšs-verbal contient un inventaire des biens laissĂ©s sur place, avec l'indication qu'ils paraissent ou non avoir valeur marchande. Le juge qui constate la rĂ©siliation du bail autorise, si nĂ©cessaire, la vente aux enchĂšres des biens laissĂ©s sur place et peut dĂ©clarer abandonnĂ©s les biens non susceptibles d'ĂȘtre vendus. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les conditions d'application du prĂ©sent article. ï»żIl appartient au bailleur qui soutient que l’appartement qu’il loue est abandonnĂ©, de dĂ©montrer l’inoccupation effective ainsi que l’intention du locataire d’abandonner les lieux. Il ne peut y avoir abandon de domicile, sur le fondement de l’article 14-1 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989, lorsque l’inoccupation, mĂȘme pour une longue durĂ©e, rĂ©sulte de l’hospitalisation du locataire ou de son hĂ©bergement chez des proches en raison des soins indispensables ou de la nĂ©cessitĂ© d’un soutien psychologique. CA Versailles, 1re ch., 2e sect., 11 fĂ©vr. 2014, no 13/03424, Mme A. c/ Office public de l’habitat de Bourg-la-Reine infirmation TI Antony, 28 fĂ©vr. 2013, n° 11-12958, M. Portelli, prĂ©s., Mme Fetizon, Mme Tapin ; Mes Ricard, Maisse-Boulanger et Debray, av. 1. L’arrĂȘt de la cour d’appel de Versailles du 11 fĂ©vrier 2014 retiendra l’attention comme Ă©tant l’une des premiĂšres dĂ©cisions rendues et diffusĂ©es sous l’empire de la nouvelle procĂ©dure de reprise des locaux abandonnĂ©s prĂ©vue Ă  l’article 14-1 de la loi du 6 juillet 19891. Aux termes de ce texte lorsque des Ă©lĂ©ments laissent supposer que le logement est abandonnĂ© par ses occupants, le bailleur peut mettre en demeure le locataire de justifier qu’il occupe le logement. Cette mise en demeure, faite par acte d’huissier de justice,[...] IL VOUS RESTE 88% DE CET ARTICLE À LIRE L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Vous ĂȘtes abonnĂ© - Identifiez-vous bail habitation principale soumis Ă  la loi du 6 juillet 1989 BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS À LA LOI DU 6 JUILLET 1989 LOCATION NON MEUBLEE Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 du 8/07/89 modifiĂ©e Le prĂ©sent contrat de location annule et remplace toute convention antĂ©rieurement conclue. Le prĂ©sent contrat de location est composĂ© ‱ d'une premiĂšre partie comprenant toutes les conditions particuliĂšres et spĂ©cifiques de la prĂ©sente location ; ‱ d'une seconde partie comprenant toutes les conditions gĂ©nĂ©rales qui lui sont applicables. ENTRE LES SOUSSIGNÉS, CI-APRÈS DÉNOMMÉS LE BAILLEUR» et LE LOCATAIRE», IL A ÉTÉ FAIT ET CONVENU CE QUI SUIT 1. - CONDITIONS PARTICULIÈRES - BAILLEUR personne physique ou sociĂ©tĂ© civile de famille ou indivision nom et domicile - personne morale dĂ©nomination et siĂšge social avec le concours de1 titulaire de la carte professionnelle n° dĂ©livrĂ©e par la prĂ©fecture de le š carte portant la mention transactions sur immeubles et fonds de commerce » garantie par2 pour un montant de €3 titulaire du compte spĂ©cial article 55 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 n° ouvert auprĂšs de ÂŁï‚Ł carte portant la mention non-dĂ©tention de fonds »4 pour son activitĂ© de transaction immobiliĂšre garantie par2 pour un montant de €3 ÂŁï‚Ł carte portant la mention non-dĂ©tention de fonds » et absence de garantie financiĂšre »4 pour son activitĂ© de transaction immobiliĂšre oïŻ carte portant la mention gestion immobiliĂšre » garantie par2 pour un montant de €3 Titulaire d’une assurance en responsabilitĂ© civile professionnelle auprĂšs de sous le n° de police rĂ©guliĂšrement mandatĂ© Ă  cet effet, demeurant Ă  - LOCATAIRE nom ou dĂ©nomination – MANDATAIRE DU BAILLEUR Le mandataire du bailleur est1 titulaire du mandat n° et de la carte professionnelle n° portant la mention gestion immobiliĂšre » dĂ©livrĂ©e par la prĂ©fecture de le garantie par2 Titulaire d’une assurance en responsabilitĂ© civile professionnelle auprĂšs de sous le n° de police Le bailleur ou son mandataire pourra, Ă  tout moment, informer le locataire de l’éventuel changement de mandataire du bailleur. PARAPHES 1 - LOCAUX LOUÉS — Situation immeuble sis Ă  bĂątiment Ă©tage — DĂ©signation des parties privatives et des Ă©quipements propres aux locaux louĂ©s porte formant le lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux de l'immeuble. et reprĂ©sentant — Surface habitable du logement5 — Équipements Ă  usage commun6 chauffage collectif š fioul š - gaz š - charbon š - Ă©lectricitĂ© š aires de stationnement š - voies de circulation privĂ©e š - aires de jeu š - espaces verts š ascenseur š - interphone š - porte Ă  code š - antenne š - autre š - Equipement d’accĂšs aux technologies de l’information et de la communication — Locaux accessoires 6 garage lot n° cave lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux parking lot n° grenier lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux — Pour une maison individuelle6 - raccordement au tout Ă  l’égout š - assainissement individuel - fosse septique š - fosse toutes eaux š - fosse Ă©tanche š - abri de jardin š - piscine š - portail automatisĂ© š - Citerne de gaz d’une contenance de litres š - cuve Ă  fuel d’une contenance de litres š Si la maison est situĂ©e dans un lotissement, Ă©quipements communs — Destination des locaux 6 Usage exclusif d'habitation principale š - Usage mixte professionnel et habitation principale š Profession — Nature et montant des travaux effectuĂ©s dans le logement depuis la fin du dernier contrat de location ou depuis le dernier renouvellement du bail - DURÉE DU CONTRAT DE LOCATION voir paragraphe 2, CONDITIONS GÉNÉRALES — durĂ©e du bail - DurĂ©e ans Date d'effet du bail Date d'Ă©chĂ©ance du bail - DurĂ©e abrĂ©gĂ©e par dĂ©rogation Date d'effet du bail Date d'Ă©chĂ©ance du bail Motif de la dĂ©rogation - LOYER- RÉVISION Informations prĂ©alables Loyer de rĂ©fĂ©rence7 € 
/mÂČ de surface habitable Loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©7 € 
/mÂČ de surface habitable Dernier loyer hors charges acquittĂ© par le prĂ©cĂ©dent locataire9 - montant € 
 - date de versement - Montant du loyer mensuel € 
 Payable d’avance, le premier jour de chaque mois. PARAPHES 2 - RĂ©vision Le loyer sera rĂ©visĂ© automatiquement et de plein droit chaque annĂ©e le La derniĂšre valeur de l’indice de rĂ©fĂ©rence des loyers IRL connue Ă  ce jour est celle du .................................. trimestre ........................... valeur .................................... Lorsque le bien fait l’objet d’un mandat de gĂ©rance, le LOCATAIRE s’oblige Ă  adresser les rĂšglements uniquement au mandataire, dĂ©signĂ© par LE BAILLEUR. Le BAILLEUR ou son mandataire pourra, Ă  tout moment, informer le LOCATAIRE de l’éventuel changement de mandataire du BAILLEUR. - CHARGES ET TAXES - En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable d’une provision sur charges et taxes fixĂ©es mensuellement Ă  ce jour Ă  la somme de € Ce montant sera modifiĂ© en fonction des charges dĂ©terminĂ©es chaque annĂ©e. - En cas de colocation6 š En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable d’une provision sur charges et taxes fixĂ©es mensuellement Ă  ce jour Ă  la somme de € Ce montant sera modifiĂ© en fonction des charges dĂ©terminĂ©es chaque annĂ©e. š En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable d’un forfait de charges d’un montant mensuel10 de € Ce forfait de charges ne peut donner lieu Ă  complĂ©ment ou Ă  rĂ©gularisation ultĂ©rieure. Il fera l’objet d’une rĂ©vision annuelle dans les mĂȘmes conditions que le loyer principal tel que prĂ©vu Ă  l’article du prĂ©sent contrat. - DÉPÔT DE GARANTIE Le locataire a versĂ©, Ă  titre de dĂ©pĂŽt de garantie, au bailleur6 au mandataire6 la somme de € .................................................................... ........................................................................................................................................................................................................................... En cas de cotitularitĂ© du prĂ©sent bail, il est rappelĂ© que le dĂ©pĂŽt de garantie ne sera restituĂ© qu’en fin de bail et aprĂšs restitution totale des lieux louĂ©s. Dans ce cadre, les parties conviennent dĂšs Ă  prĂ©sent que les sommes restant dues au titre du dĂ©pĂŽt de garantie seront restituĂ©es dans les proportions suivantes6  Ă  parts Ă©gales entre chaque copreneur  intĂ©gralement Ă  M ........................................  autres modalitĂ©s de restitution ..................... - FRAIS ET HONORAIRES Il est ici rappelĂ© les dispositions du I de l’article 5 de la loi du 6 juillet 1989 La rĂ©munĂ©ration des personnes mandatĂ©es pour se livrer ou prĂȘter leur concours Ă  l’entremise ou Ă  la nĂ©gociation d’une mise en location d’un logement, tel que dĂ©fini aux articles 2 et 25-3, est Ă  la charge exclusive du bailleur, Ă  l’exception des honoraires liĂ©s aux prestations mentionnĂ©es aux deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as du prĂ©sent I. Les honoraires des personnes mandatĂ©es pour effectuer la visite du preneur, constituer son dossier et rĂ©diger un bail sont partagĂ©s entre le bailleur et le preneur. Le montant toutes taxes comprises imputĂ© au preneur pour ces prestations ne peut excĂ©der celui imputĂ© au bailleur et demeure infĂ©rieur ou Ă©gal Ă  un plafond par mĂštre carrĂ© de surface habitable de la chose louĂ©e fixĂ© par voie rĂ©glementaire et rĂ©visable chaque annĂ©e dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret. Ces honoraires sont dus Ă  la signature du bail. Les honoraires des personnes mandatĂ©es pour rĂ©aliser un Ă©tat des lieux sont partagĂ©s entre le bailleur et le preneur. Le montant toutes taxes comprises imputĂ© au locataire pour cette prestation ne peut excĂ©der celui imputĂ© au bailleur et demeure infĂ©rieur ou Ă©gal Ă  un plafond par mĂštre carrĂ© de surface habitable de la chose louĂ©e fixĂ© par voie rĂ©glementaire et rĂ©visable chaque annĂ©e, dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret. Ces honoraires sont dus Ă  compter de la rĂ©alisation de la prestation. » Le montant du plafond d’honoraires Ă  la charge du locataire pour la visite, la constitution de son dossier et la rĂ©daction du bail est fixĂ© Ă  un montant de €8 
/mÂČ de surface habitable. Le montant du plafond d’honoraires Ă  la charge du locataire pour la rĂ©alisation de l’état des lieux est fixĂ© Ă  un montant de €8 
/mÂČ de surface habitable. Honoraires TTC, au taux actuel de la TVA de 
 % Ă  la charge du locataire - honoraires de visite, de constitution du dossier du locataire et de rĂ©daction du bail € 
 - honoraires de rĂ©alisation de l’état des lieux d’entrĂ©e € 
 Honoraires TTC au taux actuel de la TVA de 
 %, Ă  la charge du bailleur - honoraires d’entremise et de nĂ©gociation € 
 - honoraires de visite, de constitution du dossier du locataire et de rĂ©daction du bail € 
 - honoraires de rĂ©alisation de l’état des lieux d’entrĂ©e € 
 Les parties dispensent expressĂ©ment le rĂ©dacteur des prĂ©sentes de procĂ©der Ă  leur enregistrement. PARAPHES 3 – DIAGNOSTICS TECHNIQUES - DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES UN DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES EST ANNEXÉ AU PRÉSENT CONTRAT DE LOCATION ET COMPREND - le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique prĂ©vu Ă  l’article L. 134-3-1 du code de la construction et de l’habitation. Le locataire reconnaĂźt avoir reçu l’ensemble des informations concernant le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique relatif aux biens louĂ©s, dont le contenu est annexĂ© au prĂ©sent bail. - le constat des risques d’exposition au plomb prĂ©vu aux articles L. 1334-5 et L. 1334-7 du code de la santĂ© publique, lorsque l’immeuble a Ă©tĂ© construit avant le 1er janvier 1949. Le locataire reconnaĂźt avoir reçu l’ensemble des informations concernant le constat des risques d’exposition au plomb relatif aux biens louĂ©s, dont le contenu est annexĂ© au prĂ©sent bail. - l’état des risques naturels, miniers et technologiques, lorsque, conformĂ©ment Ă  l’article L. 125-5 du code de l’environnement, le bien est situĂ© dans des zones couvertes par un plan de prĂ©vention des risques technologiques ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans des zones de sismicitĂ© dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil d’Etat. De plus, lorsque l’immeuble a subi un sinistre ayant donnĂ© lieu au versement d’une indemnitĂ© en application de l’article L. 125-2 ou de l’article L. 128-2 du code des assurances, le bailleur de l’immeuble est tenu d’informer par Ă©crit le locataire de tout sinistre survenu pendant la pĂ©riode oĂč il a Ă©tĂ© propriĂ©taire de l’immeuble ou dont il a Ă©tĂ© lui-mĂȘme informĂ© en application des prĂ©sentes dispositions. En cas de non-respect des dispositions de l’article L. 125-5 du code de l’environnement, il est en outre rappelĂ© que le locataire peut poursuivre la rĂ©solution du contrat ou demander au juge une diminution du loyer. En consĂ©quence, le bailleur dĂ©clare que les biens objet des prĂ©sentes oïŻ Ne sont pas situĂ©s dans une zone couverte par un plan de prĂ©vention des risques technologiques, prescrit ou approuvĂ©, ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans une zone de sismicitĂ© dĂ©finie par dĂ©cret en Conseil d’Etat. oïŻ Sont situĂ©s dans une zone couverte par un plan de prĂ©vention des risques technologiques, prescrit ou approuvĂ©, ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans une zone de sismicitĂ© dĂ©finie par dĂ©cret en Conseil d’Etat. Il a Ă©tĂ© dressĂ© un Ă©tat des risques en date du ................................................................................ sur la base des informations mises Ă  disposition par la prĂ©fecture. Cet Ă©tat, datant de moins de six mois Ă  ce jour, est annexĂ© aux prĂ©sentes ce que le locataire reconnaĂźt expressĂ©ment, dĂ©clarant faire son affaire personnelle de cette situation. En outre, le bailleur a dĂ©clarĂ© qu’à sa connaissance oïŻ Les biens, objet des prĂ©sentes, n’ont subi aucun sinistre ayant donnĂ© lieu au versement d’une indemnitĂ© d’assurance garantissant les risques de catastrophes naturelles, visĂ©s Ă  l’article L. 125-2, ou technologiques, visĂ©s Ă  l’article L. 128-2 du code des assurances. oïŻ Les biens, objet des prĂ©sentes, ont subi un sinistre ayant son origine11 ..................................................................................................... ayant donnĂ© lieu au versement d’une indemnitĂ© d’assurance garantissant les risques de catastrophes naturelles visĂ©s Ă  l’article L. 125-2 ou technologiques visĂ©s Ă  l’article L. 128-2 du code des assurances. En consĂ©quence, le bailleur informe par Ă©crit le locataire de la cause de ce sinistre ainsi que de tous ceux survenus pendant la pĂ©riode oĂč il a Ă©tĂ© propriĂ©taire de l’immeuble ou dont il a Ă©tĂ© lui-mĂȘme informĂ© en application de l’article L. 125-5 du code de l’environnement. – INFORMATIONS RELATIVES À L’AMIANTE POUR LES IMMEUBLES COLLECTIFS DONT LE PERMIS DE CONSTRUIRE A ÉTÉ DÉLIVRÉ AVANT LE 1ER JUILLET 1997 - Parties privatives Le locataire reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© informĂ© de l’existence d’un dossier amiante sur les parties privatives qu’il occupe DAPP ou DTA. Sur demande Ă©crite, le locataire pourra venir consulter ce document auprĂšs du bailleur ou de son mandataire. - Parties communes Le locataire reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© informĂ© que le dossier technique amiante DTA sur les parties communes est tenu Ă  disposition chez le syndic de la copropriĂ©tĂ© selon ses propres modalitĂ©s de consultation. Pour les immeubles en monopropriĂ©tĂ©, sur demande Ă©crite, le locataire pourra venir consulter ce document auprĂšs du bailleur ou de son mandataire. PARAPHES 4 - INFORMATIONS PARTICULIÈRES - relatives au bruit Si le bien est situĂ© Ă  proximitĂ© d'un aĂ©rodrome, conformĂ©ment Ă  l'article L. 147-5 du code de l'urbanisme, le bailleur informe le locataire que le bien louĂ© est classĂ© dans le plan d'exposition au bruit, en zone12 ....................................................................................... - relatives Ă  la rĂ©cupĂ©ration des eaux de pluie arrĂȘtĂ© du 21 aoĂ»t 2008 pris en application de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 Si les locaux louĂ©s comportent des Ă©quipements de rĂ©cupĂ©ration des eaux pluviales, le BAILLEUR informe le locataire des modalitĂ©s d’utilisation de ceux-ci. - autres conditions particuliĂšres PARAPHES 5 BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS À LA LOI DU 6 JUILLET 1989 LOCATION NON MEUBLÉE Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 du 8/07/89 modifiĂ©e 2. - CONDITIONS GÉNÉRALES Outre les caractĂ©ristiques spĂ©cifiques stipulĂ©es aux CONDITIONS PARTICULIÈRES, la prĂ©sente location est soumise aux conditions gĂ©nĂ©rales ci-aprĂšs qui devront toutes recevoir application, celles-ci ayant Ă©tĂ© dĂ©terminantes de l'engagement du BAILLEUR. Le BAILLEUR donne en location conformĂ©ment aux dispositions du titre Ier de la loi du 6 juillet 1989 et Ă  celles des textes subsĂ©quents au LOCATAIRE qui accepte les locaux dĂ©signĂ©s aux conditions particuliĂšres, tels que ces locaux existent et tels que le LOCATAIRE dĂ©clare parfaitement les connaĂźtre pour les avoir vus et visitĂ©s dĂšs avant ce jour. Le locataire reconnaĂźt qu'Ă  dĂ©faut d'avoir fait connaĂźtre au bailleur l'existence de son conjoint ou son partenaire, les notifications et significations seront, de plein droit, opposables Ă  ce dernier. - DURÉE DU BAIL Le prĂ©sent contrat de location est consenti et acceptĂ© pour la durĂ©e dĂ©finie aux conditions particuliĂšres. - En cas de dĂ©rogation Ă  la durĂ©e de location prĂ©vue par l'article 10 de la loi du 6 juillet 1989, il est rappelĂ© qu'aux termes de l'article 11 — si l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR se rĂ©alise, le BAILLEUR confirmera cette rĂ©alisation par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception ou par acte extrajudiciaire adressĂ© au LOCATAIRE deux mois avant le terme du bail. — si la rĂ©alisation de l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR est diffĂ©rĂ©e, le BAILLEUR pourra proposer au LOCATAIRE de reporter le terme prĂ©vu sous les dĂ©lais et formes prĂ©vus par la loi ; — et si l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR ne se produit pas ou n'est pas confirmĂ©, la durĂ©e de la prĂ©sente location sera rĂ©putĂ©e ĂȘtre de trois ans Ă  compter de la date d'effet stipulĂ©e aux conditions particuliĂšres. - DESTINATION DES LOCAUX LOUÉS – OCCUPATION Le LOCATAIRE s'interdit expressĂ©ment — d'utiliser les locaux louĂ©s autrement qu'Ă  l’usage fixĂ© aux conditions particuliĂšres, Ă  l'exclusion de tout autre ; — d'exercer dans les locaux louĂ©s, en sa qualitĂ© de locataire personne physique ou reprĂ©sentant d’une personne morale, aucune activitĂ© commerciale industrielle ou artisanale, ni aucune profession libĂ©rale autre que celle Ă©ventuellement prĂ©vue aux conditions particuliĂšres. En cas d'usage mixte professionnel et habitation, le LOCATAIRE fera son affaire personnelle de toute prescription relative Ă  l'exercice de sa profession, en sorte que le BAILLEUR ne puisse, en aucun cas, ĂȘtre recherchĂ© ni inquiĂ©tĂ© Ă  ce sujet par l'Administration, les occupants de l'immeuble ou les voisins ; — de cĂ©der en tout ou partie, Ă  titre onĂ©reux ou gratuit, les droits qu'il dĂ©tient des prĂ©sentes, ou de sous-louer, Ă©changer ou mettre Ă  disposition les locaux objet des prĂ©sentes, en tout ou partie, en meublĂ© ou non, le tout sans l'accord Ă©crit du BAILLEUR, y compris sur le prix du loyer et sans que cet Ă©ventuel accord puisse faire acquĂ©rir au sous-locataire aucun droit Ă  l'encontre du BAILLEUR ni aucun titre d'occupation, les dispositions de la loi du 6 juillet 1989 n'Ă©tant pas applicables au contrat de sous-location. Le locataire s’oblige Ă  occuper personnellement les lieux louĂ©s. - OBLIGATIONS DES PARTIES La prĂ©sente location est consentie et acceptĂ©e sous les clauses et conditions ordinaires et de droit en pareille matiĂšre et notamment sous celles suivantes que le LOCATAIRE s'oblige Ă  exĂ©cuter et accomplir, Ă  savoir - Le LOCATAIRE devra entretenir les lieux louĂ©s et les Ă©quipements mentionnĂ©s, effectuer les menues rĂ©parations ainsi que les rĂ©parations locatives dĂ©finies par dĂ©cret. Il devra les rendre en bon Ă©tat sans qu’il puisse ĂȘtre mis Ă  sa charge des obligations supĂ©rieures Ă  celles prĂ©vues par la loi du 6 juillet 1989. - Le LOCATAIRE devra entretenir en bon Ă©tat les canalisations intĂ©rieures et les robinets d'eau et de gaz, de mĂȘme que les canalisations et le petit appareillage Ă©lectrique, et ce, en aval des coffrets de distribution. Le LOCATAIRE devra Ă©galement faire entretenir et nettoyer Ă  ses frais, aussi souvent qu’il en sera besoin conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation ou Ă  la rĂ©glementation en vigueur, et au moins une fois l'an, tous les appareils et installations diverses chauffe-eau, chauffage central, etc. pouvant exister dans les locaux louĂ©s. Il devra en justifier par la production d’une facture acquittĂ©e. Le LOCATAIRE devra souscrire un contrat d'entretien auprĂšs d'un Ă©tablissement spĂ©cialisĂ© de son choix pour assurer le bon fonctionnement et l'entretien du ou des gĂ©nĂ©rateurs de chauffage et de production d'eau chaude lorsqu'il s'agit d'installations individuelles. L'entretien incombant au LOCATAIRE, il lui appartiendra de produire les justifications de celui-ci, sans que l'absence de demande de justifications d'entretien puisse entraĂźner une quelconque responsabilitĂ© du BAILLEUR. - Le LOCATAIRE ne pourra pas transformer les locaux et Ă©quipements louĂ©s sans l’accord Ă©crit du BAILLEUR ou de son mandataire. Ces travaux devront ĂȘtre exĂ©cutĂ©s par des entrepreneurs sous la direction d’un architecte. Leur coĂ»t ainsi que les honoraires de l’architecte resteront Ă  la charge du LOCATAIRE. A dĂ©faut de cet accord, le BAILLEUR pourra exiger du LOCATAIRE, Ă  son dĂ©part des lieux, leur remise en Ă©tat ou conserver Ă  son bĂ©nĂ©fice les transformations effectuĂ©es sans que le LOCATAIRE puisse rĂ©clamer une indemnisation des frais engagĂ©s. Le BAILLEUR a toutefois la facultĂ© d’exiger, aux frais du LOCATAIRE, la remise immĂ©diate des lieux en l’état lorsque les transformations mettent en pĂ©ril le bon fonctionnement des Ă©quipements ou la sĂ©curitĂ© des locaux louĂ©s. . - Tous les embellissements, amĂ©nagements ou amĂ©liorations faits par le LOCATAIRE resteront acquis au BAILLEUR en fin de contrat sans que le LOCATAIRE puisse rĂ©clamer une indemnisation des frais engagĂ©s. Si ces embellissements, amĂ©nagements ou amĂ©liorations causent des dĂ©gradations irrĂ©versibles, le LOCATAIRE devra remettre, Ă  ses frais, les lieux louĂ©s dans leur Ă©tat d’origine. PARAPHES 6 - Le LOCATAIRE devra laisser visiter les locaux louĂ©s par le BAILLEUR ou son reprĂ©sentant chaque fois que cela sera rendu nĂ©cessaire pour des rĂ©parations, la sĂ©curitĂ© de l'immeuble, ou le respect des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires. Sauf urgence ces visites devront s'effectuer, les jours ouvrables aprĂšs que le LOCATAIRE en a Ă©tĂ© averti. Le locataire devra permettre l’accĂšs aux locaux louĂ©s pour la prĂ©paration et l’exĂ©cution de travaux d’amĂ©lioration des parties communes ou des parties privatives du mĂȘme immeuble, de travaux nĂ©cessaires au maintien en Ă©tat, Ă  l’entretien normal des locaux louĂ©s, des travaux d’amĂ©lioration de la performance Ă©nergĂ©tique Ă  rĂ©aliser dans ces locaux et des travaux relatifs Ă  la mise en conformitĂ© avec les critĂšres de dĂ©cence, dans les conditions fixĂ©es Ă  l’article 7 e de la loi du 6 juillet 1989. - En cas de mise en vente ou relocation, le LOCATAIRE devra laisser visiter les lieux louĂ©s deux heures pendant les jours ouvrables qui seront conventionnellement arrĂȘtĂ©es avec le BAILLEUR. A dĂ©faut d’accord les heures de visite sont fixĂ©es entre 17 et 19 heures ; il en sera de mĂȘme en cas de cessation de location pendant les trois mois qui prĂ©cĂ©deront celle-ci. - Le LOCATAIRE est tenu — d'assurer les risques dont il doit rĂ©pondre en sa qualitĂ© de locataire au titre des locaux louĂ©s, dĂ©pendances incluses, envers le BAILLEUR et gĂ©nĂ©ralement les tiers, auprĂšs d'une compagnie d'assurances notoirement solvable. Il devra justifier de cette assurance au BAILLEUR lors de la remise des clĂ©s, maintenir cette assurance pendant toute la durĂ©e du bail, en payer rĂ©guliĂšrement les primes et EN JUSTIFIER au BAILLEUR chaque annĂ©e. La justification de cette assurance rĂ©sulte de la remise au BAILLEUR d'une attestation de l'assureur ou de son reprĂ©sentant. La prĂ©sente clause constitue une demande expresse du BAILLEUR qui n'aura pas Ă  la renouveler chaque annĂ©e, le LOCATAIRE devant fournir lui-mĂȘme ses quittances sous sa responsabilitĂ©. A dĂ©faut, le prĂ©sent bail sera de plein droit rĂ©siliĂ© un mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux. Le LOCATAIRE rĂ©pondra des dĂ©gradations ou pertes survenant pendant la durĂ©e du contrat dans les locaux dont il a la jouissance exclusive, Ă  moins qu'il ne prouve qu'elles ont eu lieu par cas de force majeure, par la faute du BAILLEUR ou par le fait d'un tiers qu'il n'a pas introduit dans le logement. Il s'oblige formellement Ă  aviser sans dĂ©lai par Ă©crit le BAILLEUR de toute dĂ©gradation ou de tout sinistre survenant dans les locaux louĂ©s ; Ă  dĂ©faut, il pourra ĂȘtre tenu responsable de sa carence. Il serait, en outre, responsable envers le BAILLEUR de toute aggravation de ce dommage survenu aprĂšs cette date. - Le LOCATAIRE devra faire ramoner les cheminĂ©es et gaines de fumĂ©e des lieux louĂ©s aussi souvent qu'il en sera besoin conformĂ©ment Ă  la lĂ©gislation ou Ă  la rĂ©glementation en vigueur et au moins une fois par an. Il en justifiera par la production d’une facture acquittĂ©e. Le LOCATAIRE ne pourra faire usage, dans les locaux louĂ©s, d'aucun appareil de chauffage Ă  combustion lente ou continue, en particulier d'aucun appareil utilisant le mazout ou le gaz, sans avoir obtenu prĂ©alablement l'accord et l'autorisation Ă©crite du BAILLEUR et, dans le cas oĂč cette autorisation serait donnĂ©e le LOCATAIRE devrait prendre Ă  sa charge les frais consĂ©cutifs aux amĂ©nagements prĂ©alables Ă  rĂ©aliser s'il y a lieu modification ou adaptation des conduits ou des cheminĂ©es d'Ă©vacuation, etc.. Il reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© avisĂ© de ce que la violation de cette interdiction le rendrait responsable des dommages qui pourraient ĂȘtre causĂ©s. - Le LOCATAIRE devra jouir des lieux en bon pĂšre de famille, ne commettre aucun abus de jouissance susceptible de nuire soit Ă  la soliditĂ© ou Ă  la bonne tenue de l'immeuble, soit d'engager la responsabilitĂ© du BAILLEUR envers les autres occupants de l'immeuble ou envers le voisinage. En particulier, il ne pourra rien dĂ©poser, sur les appuis de fenĂȘtres, balcons et ouvertures quelconques sur rue ou sur cour, qui puisse prĂ©senter un danger pour les autres occupants de l'immeuble, ou causer une gĂȘne Ă  ces occupants ou au voisinage, ou nuire Ă  l'aspect dudit immeuble. Il ne pourra notamment y Ă©tendre aucun linge, tapis, chiffon, y dĂ©poser aucun objet mĂ©nager, ustensile, outil quelconque. Il devra Ă©viter tout bruit de nature Ă  gĂȘner les autres habitants de l'immeuble, notamment rĂ©gler tout appareil de radio, tĂ©lĂ©vision et tout appareil de reproduction de sons de telle maniĂšre que le voisinage n'ait pas Ă  s'en plaindre. Le LOCATAIRE ne devra conserver dans les lieux louĂ©s aucun animal bruyant, malpropre ou malodorant, susceptible de causer des dĂ©gradations ou une gĂȘne aux autres occupants de l'immeuble. De plus, il s’interdit de dĂ©tenir dans les lieux louĂ©s, des chiens de premiĂšre catĂ©gorie, en application des articles L. 211-12 et suivants du code rural. Le LOCATAIRE informera le BAILLEUR ou son mandataire de la prĂ©sence de parasites, rongeurs et insectes dans les lieux louĂ©s. Les dĂ©penses effectuĂ©es pour les opĂ©rations de dĂ©sinsectisation ou de dĂ©sinfection intĂ©ressant les parties privatives seront Ă  sa charge dans le respect de la lĂ©gislation sur les charges rĂ©cupĂ©rables. ConformĂ©ment Ă  l’article L. 133-4 du code de la construction et de l’habitation, le LOCATAIRE est tenu de dĂ©clarer en mairie la prĂ©sence de termites et/ou d’insectes xylophages dans les lieux louĂ©s. Il s’engage parallĂšlement Ă  en informer le BAILLEUR pour qu’il puisse procĂ©der aux travaux prĂ©ventifs ou d’éradication nĂ©cessaires. Le LOCATAIRE ne pourra dĂ©poser dans les cours, entrĂ©es, couloirs, escaliers, ni sur les paliers et, d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, dans aucune des parties communes autres que celles rĂ©servĂ©es Ă  cet effet, aucun objet, quel qu'il soit, notamment bicyclettes, cycles Ă  moteur et autres vĂ©hicules, voitures d'enfant et poussettes. - S'il existe un jardin privatif, il l'entretiendra en parfait Ă©tat, la modification des plantations ne pourra se faire qu'avec l'accord Ă©crit du BAILLEUR. - La vitrification des parquets ou les revĂȘtements de sols devront ĂȘtre convenablement entretenus. Le LOCATAIRE devra veiller Ă  ce que les sols ne soient pas abĂźmĂ©s par l'usage des talons dits aiguille » ou autrement. Au cas oĂč la salissure du parquet ou des revĂȘtements de sols, leur manque d'entretien ou leur dĂ©gradation intervenus pendant la durĂ©e des relations contractuelles entraĂźnerait la nĂ©cessitĂ© d'une remise en Ă©tat en fin de jouissance, son coĂ»t resterait Ă  la charge du LOCATAIRE. - Le LOCATAIRE devra satisfaire Ă  ses frais Ă  toutes les charges et conditions d’hygiĂšne, de ville, de police ainsi qu’aux rĂšglements de salubritĂ© et d’hygiĂšne qui relĂšvent de ses obligations et acquitter Ă  leur Ă©chĂ©ance toutes ses contributions personnelles, taxes d’habitation, d’enlĂšvement des ordures mĂ©nagĂšres et autres, ainsi que toutes taxes assimilĂ©es, de telle façon que le LOCATAIRE devra, avant de vider les lieux, justifier au BAILLEUR qu’il a acquittĂ© toutes impositions et taxes, toutes sommes dont il serait redevable, notamment sa consommation d’eau. - Le LOCATAIRE devra prendre toutes prĂ©cautions nĂ©cessaires pour protĂ©ger du gel les canalisations d'eau ainsi que les compteurs, et sera, dans tous les cas, tenu pour responsable des dĂ©gĂąts qui pourraient survenir du fait de sa nĂ©gligence. En cas de dĂ©gĂąts des eaux, et notamment par suite de gel, le LOCATAIRE devra le signaler au BAILLEUR ou Ă  son mandataire dans les dĂ©lais les plus brefs et prendre toutes mesures conservatoires visant Ă  limiter les consĂ©quences du sinistre. A dĂ©faut, sa responsabilitĂ© pourrait ĂȘtre engagĂ©e. - Le BAILLEUR ne s’engage pas Ă  assurer – ou faire assurer – la surveillance de l’immeuble ou des locaux louĂ©s. - En consĂ©quence, le vol, les dĂ©tĂ©riorations dans les locaux louĂ©s ou dans les parties communes ne sont pas garantis par le BAILLEUR sauf si sa faute est dĂ©montrĂ©e. - Le BAILLEUR pourra remplacer l’éventuel employĂ© d'immeuble chargĂ© de l'entretien par une entreprise ou un technicien de surface effectuant les mĂȘmes prestations. Le LOCATAIRE ne pourra rendre le BAILLEUR ou son mandataire responsable des faits du gardien, du concierge ou de l’employĂ© d'immeuble qui, pour toute mission Ă  lui confiĂ©e par le LOCATAIRE, sera considĂ©rĂ© comme son mandataire exclusif et spĂ©cial. Il est spĂ©cifiĂ© que le gardien, le concierge ou l’employĂ© d’immeuble n'a pas pouvoir d'accepter un congĂ©, de recevoir les clĂ©s ou de signer soit un contrat de location, soit les quittances ou reçus, soit un Ă©tat des lieux ou toute attestation ou certificat ; en consĂ©quence, sa signature ne saurait engager le BAILLEUR ou son - Afin de respecter l’harmonie de l’immeuble et/ou les prescriptions du rĂšglement intĂ©rieur toutes les plaques apposĂ©es devront ĂȘtre conformes au modĂšle de l’immeuble. - S’il existe un rĂ©seau collectif de tĂ©lĂ©vision, le LOCATAIRE pourra s’y raccorder Ă  ses frais. Le locataire souhaitant installer une antenne extĂ©rieure individuelle devra prĂ©alablement en informer le bailleur par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception conformĂ©ment Ă  la procĂ©dure visĂ©e Ă  l’article 1er du dĂ©cret n° 67-117 du 22 dĂ©cembre 1967. Si le logement louĂ© est situĂ© dans un immeuble soumis au statut de la copropriĂ©tĂ©, la pose de cette antenne ne pourra avoir lieu sans l’autorisation de l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires. En cas d’installation dans l’immeuble d’un systĂšme de rĂ©ception antenne, cĂąble, etc. aprĂšs l’entrĂ©e dans les lieux du LOCATAIRE, si ce dernier souhaite s’y raccorder, le BAILLEUR pourra lui demander le remboursement de la quote-part des frais d’installation. - S’il existe un rĂšglement de copropriĂ©tĂ© et/ou un rĂšglement intĂ©rieur de l’immeuble, le locataire et sa famille devront s’y conformer. Le BAILLEUR communique au LOCATAIRE les extraits du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© et/ou du rĂšglement intĂ©rieur concernant la destination de l’immeuble, la jouissance et l’usage des parties privatives et communes de l’immeuble. PARAPHES 7 - En fin de location et avant la restitution des clĂ©s, le LOCATAIRE devra effectuer toutes les rĂ©parations locatives Ă  sa charge et laisser les lieux et leurs dĂ©pendances en parfait Ă©tat de propretĂ©. Les clĂ©s devront ĂȘtre restituĂ©es en totalitĂ© au BAILLEUR ou Ă  son mandataire. Le LOCATAIRE indiquera au BAILLEUR sa nouvelle adresse. - De son cĂŽtĂ© le BAILLEUR est obligĂ© — de dĂ©livrer au LOCATAIRE les locaux louĂ©s en bon Ă©tat d'usage et de rĂ©paration, et les Ă©quipements mentionnĂ©s au contrat en bon Ă©tat de fonctionnement ; — d'assurer au LOCATAIRE la jouissance paisible des locaux louĂ©s, sans prĂ©judice des dispositions de l'article 1721 du Code civil, de le garantir des vices ou dĂ©fauts de nature Ă  y faire obstacle hormis ceux qui, consignĂ©s dans l'Ă©tat des lieux, auraient fait l'objet d'une convention sur travaux ; — d'entretenir les locaux louĂ©s en l'Ă©tat de servir Ă  l'usage prĂ©vu par le contrat de location et d'y faire toutes les rĂ©parations autres que locatives nĂ©cessaires au maintien en l'Ă©tat et Ă  l'entretien normal des locaux louĂ©s ; — de ne pas s'opposer aux amĂ©nagements rĂ©alisĂ©s par le LOCATAIRE dĂšs lors qu'ils ne constituent pas une transformation de la chose louĂ©e. - LOYER Le prĂ©sent bail est consenti et acceptĂ© moyennant un loyer payable par mois tel qu'il est indiquĂ© aux conditions particuliĂšres, au domicile du BAILLEUR ou de son mandataire par chĂšque, virement bancaire ou postal ou prĂ©lĂšvement automatique. La simple remise d'un chĂšque ou ordre de virement ne vaudra libĂ©ration du dĂ©biteur qu’aprĂšs son encaissement. Le loyer est stipulĂ© PORTABLE. - RÉVISION DU LOYER Le loyer sera rĂ©visĂ© automatiquement et de plein droit chaque annĂ©e Ă  la date anniversaire du bail ou Ă  la date stipulĂ©e aux conditions particuliĂšres, en fonction de la variation de l’indice de rĂ©fĂ©rence des loyers IRL publiĂ© par l'INSEE ou en fonction de l'indice, ou du taux d'Ă©volution qui lui serait substituĂ©. L'indice de rĂ©fĂ©rence servant Ă  cette rĂ©vision est prĂ©cisĂ© aux conditions particuliĂšres. - DÉPÔT DE GARANTIE Le LOCATAIRE a versĂ©, Ă  titre de dĂ©pĂŽt de garantie, au BAILLEUR ou Ă  son mandataire, la somme indiquĂ©e aux conditions particuliĂšres, non supĂ©rieure Ă  celle prĂ©vue par la loi. Cette somme sera restituĂ©e sans intĂ©rĂȘts au LOCATAIRE en fin de bail et au plus tard dans le dĂ©lai d’UN MOIS Ă  compter de la remise des clĂ©s si l’état des lieux de sortie est conforme Ă  l’état des lieux d’entrĂ©e. Cette somme sera restituĂ©e sans intĂ©rĂȘts au LOCATAIRE en fin de bail au plus tard dans un dĂ©lai de DEUX MOIS Ă  compter de la remise des clĂ©s si l’état des lieux de sortie n’est pas conforme Ă  l’état des lieux d’entrĂ©e. Il sera dĂ©duit du dĂ©pĂŽt de garantie toutes les sommes dont le LOCATAIRE pourrait ĂȘtre dĂ©biteur envers le BAILLEUR ou dont celui-ci pourrait ĂȘtre tenu ou responsable, sous rĂ©serve de leur justification. Pour le cas oĂč les locaux louĂ©s se situeraient dans un immeuble en copropriĂ©tĂ©, le BAILLEUR conservera une provision de 20 % du montant du dĂ©pĂŽt de garantie pour le couvrir des charges en attendant leur liquidation, le solde du compte du dĂ©pĂŽt de garantie devant ĂȘtre effectuĂ© dans le mois qui suit l'approbation dĂ©finitive des comptes de la copropriĂ©tĂ©. Le LOCATAIRE devra justifier en fin de bail, de quelque maniĂšre qu'elle survienne, de sa nouvelle domiciliation et du paiement de toute somme dont le BAILLEUR pourrait ĂȘtre tenu en ses lieu et place. - ÉTAT DES LIEUX Un Ă©tat des lieux Ă©tabli contradictoirement et amiablement par les parties lors de la remise des clĂ©s ou Ă  dĂ©faut, par huissier de justice, Ă  l’initiative de la partie la plus diligente et Ă  frais partagĂ©s par moitiĂ©, est joint au contrat. Un Ă©tat des lieux de sortie sera Ă©tabli contradictoirement et amiablement par les parties lors de la restitution des clĂ©s ou Ă  dĂ©faut, par huissier de justice, Ă  l’initiative de la partie la plus diligente et Ă  frais partagĂ©s par moitiĂ©. Lorsque l’état des lieux doit ĂȘtre Ă©tabli par huissier de justice, les parties en sont avisĂ©es par lui au moins sept jours Ă  l'avance par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception. - CHARGES - En mĂȘme temps et de la mĂȘme façon que le loyer, le LOCATAIRE s'oblige Ă  acquitter les charges, prestations et taxes rĂ©cupĂ©rables mises Ă  sa charge et dĂ©coulant de la lĂ©gislation en vigueur et du prĂ©sent bail au prorata des milliĂšmes de copropriĂ©tĂ© s'il existe un rĂšglement de copropriĂ©tĂ© de l'immeuble dans lequel se trouvent les locaux louĂ©s, ou selon les modalitĂ©s dĂ©finies par un rĂšglement intĂ©rieur dudit immeuble, ou tout autre Ă©tat de rĂ©partition. Ces charges sont acquittĂ©es soit par provision, soit forfaitairement comme prĂ©vu aux conditions particuliĂšres du prĂ©sent contrat. – Lorsqu’elles ne seront pas forfaitaires, les charges locatives feront l'objet d'une rĂ©gularisation au moins annuelle. Les demandes de provisions sont justifiĂ©es par la communication des rĂ©sultats antĂ©rieurs arrĂȘtĂ©s lors de la prĂ©cĂ©dente rĂ©gularisation et lorsque l'immeuble est soumis au statut de la copropriĂ©tĂ© ou lorsque le bailleur est une personne morale, par le budget prĂ©visionnel. Un mois avant cette rĂ©gularisation, le BAILLEUR en communique au LOCATAIRE le dĂ©compte par nature de charges ainsi que dans les immeubles collectifs, le mode de rĂ©partition entre locataires et le cas Ă©chĂ©ant, une note d’information sur les modalitĂ©s de calcul des charges de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire collectifs. Durant six mois Ă  compter de l'envoi de ce dĂ©compte, les piĂšces justificatives sont tenues, dans des conditions normales, Ă  la disposition du LOCATAIRE, au domicile du BAILLEUR ou de son mandataire Ă  ses jours et heures de rĂ©ception. - Le LOCATAIRE acquittera les frais d'abonnement, de branchement et d’entretien des appareils individuels de consommation. - RENOUVELLEMENT A l'expiration du bail, le BAILLEUR ou le LOCATAIRE pourra mettre en Ɠuvre la procĂ©dure de renouvellement conformĂ©ment Ă  la loi. A dĂ©faut le bail se renouvellera par tacite reconduction. En cas de reconduction tacite, la durĂ©e du contrat reconduit est de trois ans pour les bailleurs personnes physiques ainsi que pour les bailleurs dĂ©finis Ă  l'article 13 de la loi du 6 juillet 1989, et de six ans pour les bailleurs personnes morales. - RÉSILIATION - CONGÉ - PAR LE LOCATAIRE - PrĂ©avis - DĂ©lai PARAPHES 8 — avec prĂ©avis de TROIS MOIS Ă  tout moment, le LOCATAIRE peut rĂ©silier le prĂ©sent bail sans motif ; — avec prĂ©avis d'UN MOIS, Ă  tout moment, le locataire peut rĂ©silier le bail, Ă  condition de justifier avec le congĂ© d’un motif prĂ©vu Ă  l’article 15 de la loi du 6 juillet 1989 ‱ en cas de mutation professionnelle, de perte d'emploi, de nouvel emploi consĂ©cutif Ă  une perte d'emploi ou d’obtention d’un premier emploi ; ‱ si son Ă©tat de santĂ©, attestĂ© par un certificat mĂ©dical, justifie un changement de domicile ; ‱ s'il est bĂ©nĂ©ficiaire du revenu de solidaritĂ© active ou de l’allocation adulte handicapĂ© ; ‱ si le logement est situĂ© dans une commune comprise dans une zone d’urbanisation dĂ©finie par l’article 17 de la loi du 6 juillet 1989 dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret ; ‱ s’il est attributaire d’un logement dĂ©fini Ă  l’article du code de la construction et de l’habitation. Si le congĂ© a Ă©tĂ© notifiĂ© ou signifiĂ© par le LOCATAIRE, celui-ci est tenu au paiement des loyers et charges de la location pendant toute la durĂ©e du prĂ©avis, Ă  moins que les locaux louĂ©s n’aient Ă©tĂ© occupĂ©s avant la fin du prĂ©avis par le bailleur ou avec son accord par un autre locataire. - Forme La rĂ©siliation par le LOCATAIRE en cours de bail doit ĂȘtre notifiĂ©e par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception, signifiĂ©e par acte d'huissier ou remise en main propre contre rĂ©cĂ©pissĂ© ou Ă©margement. - Computation des dĂ©lais Dans tous les cas le dĂ©lai commence Ă  courir Ă  compter du jour de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception, de la signification de l’acte par huissier ou de la remise en main propre. - PAR LE BAILLEUR - RĂ©siliation volontaire a PrĂ©avis - DĂ©lai Il pourra ĂȘtre mis fin au prĂ©sent bail Ă  son terme sous rĂ©serve d’un prĂ©avis de 6 mois. b Motif Le motif du congĂ© par le BAILLEUR doit ĂȘtre fondĂ© — sur la reprise du logement nom, adresse et nature du lien existant entre le bailleur et le bĂ©nĂ©ficiaire de la reprise qui ne peut ĂȘtre que le bailleur, son conjoint, son concubin notoire, ses ascendants, ses descendants, ceux de son conjoint ou concubin notoire, son partenaire avec lequel il est liĂ© par un PACS ; — en vue de la vente du logement prix, conditions de la vente. Le congĂ© vaut offre de vente pendant les deux premiers mois du dĂ©lai de prĂ©avis ; — sur un motif lĂ©gitime et sĂ©rieux. Si le congĂ© a Ă©tĂ© notifiĂ© ou signifiĂ© par le BAILLEUR, le LOCATAIRE n'est tenu au paiement des loyers et charges de la location que pour le temps oĂč il a effectivement occupĂ© les locaux louĂ©s. c Forme Il pourra ĂȘtre mis fin au prĂ©sent bail, Ă  son terme — par lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception ; — par lettre remise en main propre contre rĂ©cĂ©pissĂ© ou Ă©margement ; — ou par notification par acte d’huissier. - RĂ©siliation judiciaire Le BAILLEUR peut demander judiciairement la rĂ©siliation du bail pour toutes infractions aux clauses des prĂ©sentes ou par application des clauses rĂ©solutoires. - De plein droit Le prĂ©sent bail sera rĂ©siliĂ© de plein droit par abandon du domicile du LOCATAIRE ou son dĂ©cĂšs, Ă  dĂ©faut de se poursuivre ou de se transfĂ©rer dans les conditions dĂ©finies sous le titre ABANDON DE DOMICILE - DÉCES DU LOCATAIRE ». - Computation des dĂ©lais Dans tous les cas le dĂ©lai commence Ă  courir Ă  compter du jour de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e avec demande d’avis de rĂ©ception, de la signification de l’acte par huissier ou de la remise en main propre. - Expiration du dĂ©lai de prĂ©avis A l’expiration du dĂ©lai de prĂ©avis applicable au congĂ©, le LOCATAIRE est dĂ©chu de tout titre d’occupation des locaux louĂ©s. - CLAUSE RÉSOLUTOIRE Le prĂ©sent contrat sera rĂ©siliĂ© immĂ©diatement et de plein droit, sans qu’il soit besoin de faire ordonner cette rĂ©siliation en justice, si bon semble au bailleur — deux mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux Ă  dĂ©faut de paiement aux termes convenus de tout ou partie du loyer et des charges ou en cas de non-versement du dĂ©pĂŽt de garantie Ă©ventuellement prĂ©vu au contrat ; — un mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux Ă  dĂ©faut d’assurance contre les risques locatifs. Une fois acquis au bailleur le bĂ©nĂ©fice de la clause rĂ©solutoire, le LOCATAIRE devra libĂ©rer immĂ©diatement les lieux. Les frais, droits et honoraires des actes de procĂ©dure seront rĂ©partis entre le dĂ©biteur et le crĂ©ancier conformĂ©ment Ă  l’article du code de procĂ©dure civile d’exĂ©cution. Il est prĂ©cisĂ© que le LOCATAIRE sera tenu de toutes les obligations dĂ©coulant du prĂ©sent bail jusqu’à la libĂ©ration effective des lieux sans prĂ©judice des dispositions de l’article 1760 du Code Civil, et ce, nonobstant l’expulsion. — dĂšs lors qu’une dĂ©cision de justice sera passĂ©e en force de chose jugĂ©e qui constatera les troubles de voisinage et constituera le non-respect d’user paisiblement des locaux louĂ©s. - INDEMNITÉ D’OCCUPATION En cas de congĂ© ou de rĂ©siliation si le locataire se maintient aprĂšs l’expiration du bail, il sera redevable d’une indemnitĂ© d’occupation au moins Ă©gale au montant du dernier loyer, charges, taxes et accessoires rĂ©clamĂ©. PARAPHES 9 - ABANDON DE DOMICILE - DÉCÈS DU LOCATAIRE En cas d'abandon de domicile par le LOCATAIRE le contrat de location continue — au profit du conjoint sans prĂ©judice de l’article 1751 du Code civil ; — au profit des descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date de l’abandon du domicile ; — au profit du partenaire liĂ© au LOCATAIRE par un pacte civil de solidaritĂ© ; — au profit des ascendants, du concubin notoire ou des personnes Ă  charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date de l'abandon du domicile. Lors du dĂ©cĂšs du LOCATAIRE, le contrat de location est transfĂ©rĂ© — au conjoint survivant qui ne peut se prĂ©valoir des dispositions de l’article 1751 du Code civil ; — aux descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date du dĂ©cĂšs ; — aux ascendants, au concubin notoire ou aux personnes Ă  charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date du dĂ©cĂšs ; — au profit du partenaire liĂ© au LOCATAIRE par un pacte civil de solidaritĂ©. En cas de demandes multiples, le juge se prononce en fonction des intĂ©rĂȘts en prĂ©sence. A dĂ©faut de personnes remplissant les conditions prĂ©vues au prĂ©sent article, le contrat de location est rĂ©siliĂ© de plein droit par le dĂ©cĂšs du LOCATAIRE ou par l'abandon du domicile par ce dernier. Les hĂ©ritiers du LOCATAIRE disposeront d’un dĂ©lai d’un mois Ă  compter du dĂ©cĂšs du locataire pour restituer les lieux au BAILLEUR. Une indemnitĂ© Ă©gale au montant du loyer sera due jusqu’au jour oĂč le BAILLEUR pourra disposer des lieux. - CONVENTION SUR TRAVAUX Si le prĂ©sent contrat de location a fait l'objet d'une convention sur travaux » telle qu'elle est dĂ©finie par l'article 17-1 II de la loi du 6 juillet 1989, celle-ci est Ă©tablie ci-dessus aux conditions particuliĂšres. - TOLÉRANCES I1 est formellement convenu que toutes les tolĂ©rances de la part du BAILLEUR ou de son mandataire relatives aux clauses et conditions Ă©noncĂ©es cidessus quelles qu'en aient pu ĂȘtre la frĂ©quence et la durĂ©e, ne pourront jamais, et dans aucun cas, ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme apportant une modification ou suppression des clauses et conditions ni comme gĂ©nĂ©ratrices d'un droit quelconque. Le BAILLEUR ou son mandataire pourra toujours y mettre fin aprĂšs notification au locataire. - SOLIDARITÉ - INDIVISIBILITÉ Il est expressĂ©ment stipulĂ© que les copreneurs et toutes personnes pouvant se prĂ©valoir des dispositions de l'article 14 de la loi du 6 juillet 1989 seront tenus solidairement et indivisiblement de l'exĂ©cution des obligations du prĂ©sent contrat. Les colocataires soussignĂ©s, dĂ©signĂ©s le LOCATAIRE», reconnaissent expressĂ©ment qu'ils se sont engagĂ©s solidairement et que le bailleur n'a acceptĂ© de consentir le prĂ©sent bail qu'en considĂ©ration de cette cotitularitĂ© solidaire et n'aurait pas consenti la prĂ©sente location Ă  l'un seulement d'entre eux. Si un colocataire dĂ©livrait congĂ© et quittait les lieux, il resterait en tout Ă©tat de cause tenu du paiement des loyers et accessoires et, plus gĂ©nĂ©ralement, de toutes les obligations du bail en cours au moment de la dĂ©livrance du congĂ©, et de ses suites et notamment des indemnitĂ©s d’occupation et de toutes sommes dues au titre des travaux de remise en Ă©tat, au mĂȘme titre que les colocataires demeurĂ©s dans les lieux pendant une durĂ©e de six mois Ă  compter de la date d’effet du congĂ©. Toutefois, cette solidaritĂ© prendra fin, avant l’expiration de ce dĂ©lai, si un nouveau colocataire, acceptĂ© par le bailleur, figure au prĂ©sent contrat. La prĂ©sente clause est une condition substantielle sans laquelle le prĂ©sent bail n'aurait pas Ă©tĂ© consenti. En cas de dĂ©part d’un ou plusieurs colocataires, le dĂ©pĂŽt de garantie ne sera restituĂ© qu’aprĂšs libĂ©ration totale des lieux et dans un dĂ©lai maximum de deux mois Ă  compter de la remise des clĂ©s. - INFORMATIQUE ET LIBERTÉS Les informations recueillies par le mandataire dans le cadre du prĂ©sent contrat font l'objet d'un traitement informatique nĂ©cessaire Ă  l'exĂ©cution des missions confiĂ©es au mandataire par le prĂ©sent contrat. ConformĂ©ment Ă  la loi informatique et libertĂ©s du 6 janvier 1978 modifiĂ©e, les parties bĂ©nĂ©ficient d'un droit d'accĂšs, de rectification et de suppression des informations qui les concernent. Pour exercer ces droits, les parties peuvent s'adresser Ă  l'agence, aux coordonnĂ©es ci-dessus. - ÉLECTION DE DOMICILE Pour l'exĂ©cution des prĂ©sentes, et notamment pour la signification de tout acte de poursuites, les parties font Ă©lection de domicile le BAILLEUR en son domicile ou en celui de son mandataire ; le LOCATAIRE dans les lieux louĂ©s pendant la durĂ©e du bail et Ă  l’adresse qu’il aura communiquĂ©e aprĂšs son dĂ©part ; Ă  dĂ©faut, Ă  la derniĂšre adresse connue. PARAPHES 10 NOTES 1 Il s’agit du titulaire de la carte professionnelle, avec indication de la personne habilitĂ©e Ă  signer - personne physique prĂ©ciser nom, prĂ©nom, adresse de l’établissement principal, n° SIREN suivi de RCS » et ville d’immatriculation ; - personne morale prĂ©ciser la raison sociale, adresse du siĂšge social, forme juridique, capital social, nom et prĂ©nom du responsable signataire, n° SIREN suivi de RCS » et ville d’immatriculation. Lorsque le mandataire possĂšde des liens de nature capitalistique et/ou juridique avec des banques ou sociĂ©tĂ©s financiĂšres, le mentionner et prĂ©ciser les noms de ces Ă©tablissements. Lorsque le mandataire est immatriculĂ© Ă  l’Orias, indiquer les numĂ©ros d’immatriculation pour son activitĂ© d’intermĂ©diaire en opĂ©rations d’assurance et/ou en opĂ©rations de banque. 2 PrĂ©ciser la raison sociale et l’adresse du garant. 3 Ce montant est au minimum de 110 000 €. 4 Le mandataire ayant souscrit la dĂ©claration sur l’honneur visĂ©e aux articles 3 6° et 80 4° du dĂ©cret du 20 juillet 1972, celui-ci ne doit recevoir ni dĂ©tenir d’autres fonds, effets ou valeurs que ceux reprĂ©sentatifs de sa rĂ©munĂ©ration. 5 Mention obligatoire. La surface devant ĂȘtre indiquĂ©e est celle dĂ©finie Ă  l’article R. 111-2 du code de la construction et de l’habitation. 6 Rayer les mentions inutiles ou cocher la case correspondante. 7 A ne remplir qu’aprĂšs la publication des textes rĂ©glementaires et Ă  n’indiquer que si le logement se situe dans une commune comprise dans une zone d’urbanisation dĂ©finie par l’article 17 de la loi du 6 juillet 1989 dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret. 8 FixĂ© par le dĂ©cret n° 2014-890 du 1er aoĂ»t 2014 relatif au plafonnement des honoraires imputables aux locataires et aux modalitĂ©s de transmission de certaines informations par les professionnels de l'immobilier. 9 A complĂ©ter uniquement si le prĂ©cĂ©dent locataire a quittĂ© le logement moins de 18 mois avant la signature du bail. 10 Le forfait de charges n’est possible qu’en cas de colocation. Il est fixĂ© en fonction des montants exigibles par le bailleur en application de l’article 23 de la loi. 11 Indiquer l’origine du sinistre. 12 PrĂ©ciser si le bien est classĂ© en zone A, B, C ou D dans le plan d’exposition au bruit. LE PRÉSENT BAIL A ÉTÉ FAIT AU CABINET DU MANDATAIRE A , LE EN AUTANT D’EXEMPLAIRES QUE DE PARTIES ET COMPREND LE BAILLEUR ou son mandataire MOTS NULS LIGNES NULLES LE LOCATAIRE Lu et approuvĂ© signature CL 894 – BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS A LA LOI DU 6/07/1989 AoĂ»t 2014 ImprimĂ© rĂ©servĂ© exclusivement aux adhĂ©rents de la FĂ©dĂ©ration Nationale de l’Immobilier 11 Selon la Cour de cour de cassation, le placement dĂ©finitif d’un locataire en maison de retraite imposĂ© Ă  une des personnes mentionnĂ©es Ă  l’article 14 de la loi du 6 juillet 1989 constitue un abandon du domicile. Voici le texte de cet arrĂȘt " Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© Douai, 2 novembre 2006, que M. X..., occupant d'un logement qui avait Ă©tĂ© donnĂ© Ă  bail Ă  Mme Y..., sa mĂšre, par la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat la sociĂ©tĂ©, a assignĂ© cette derniĂšre aux fins de faire juger que le bail s'Ă©tait continuĂ© Ă  son profit lors de l’entrĂ©e en maison de retraite de sa mĂšre ou, subsidiairement, qu’il lui avait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© Ă  son dĂ©cĂšs ; Sur le premier moyen Vu l'article 14 de la loi du 6 juillet 1989 ; Attendu qu'en cas d'abandon du domicile par le locataire, le contrat de location continue - au profit du conjoint, sans prĂ©judice de l’article 1751 du code civil ; - au profit des descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date de l'abandon du domicile ; - au profit du partenaire liĂ© au locataire par un pacte civil de solidaritĂ© ; - au profit des ascendants, du concubin notoire ou des personnes Ă  charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă  la date de l’abandon du domicile ; Attendu que pour rejeter la demande en continuation du bail, l'arrĂȘt retient que Mme Y..., locataire de l’appartement litigieux, a Ă©tĂ© hospitalisĂ©e Ă  l’hĂŽpital du 15 mars 2003 au 2 mai 2003, puis Ă  la clinique du 2 mai 2003 au 4 aoĂ»t 2003, date de son admission Ă  la maison de retraite, qu’il rĂ©sulte du certificat mĂ©dical Ă©tabli le 17 janvier 2005 que, pour une raison de santĂ© impĂ©rative qui nĂ©cessitait des soins et une prise en charge adaptĂ©s dans une maison mĂ©dicalisĂ©e pour personnes ĂągĂ©es, le maintien de Mme Y... Ă  son domicile Ă©tait impossible, qu’il est ainsi Ă©tabli que l’hospitalisation de Mme Y... a Ă©tĂ© motivĂ©e par la nĂ©cessitĂ© de lui prodiguer des soins qui, en raison de son Ăąge et de son Ă©tat de santĂ©, ne pouvaient l’ĂȘtre Ă  son domicile, et non par la nĂ©cessitĂ© de lui faire subir une intervention chirurgicale urgente, que le placement de Mme Y... en maison de retraite est intervenu Ă  l’issue d’un sĂ©jour hospitalier de plus de quatre mois, que ce placement, qui suppose une procĂ©dure prĂ©alable d’admission, ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un Ă©vĂ©nement brutal et imprĂ©visible ; Qu'en statuant ainsi, alors que le placement dĂ©finitif d’un locataire en maison de retraite imposĂ© Ă  une des personnes mentionnĂ©es Ă  l’article 14 de la loi du 6 juillet 1989 constitue un abandon du domicile au sens de cet article, la cour d’appel a violĂ© le texte susvisĂ© ; PAR CES MOTIFS, et sans qu’il y ait lieu de statuer sur le second moyen CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrĂȘt rendu le 2 novembre 2006, entre les parties, par la cour d'appel de Douai ; remet, en consĂ©quence, la cause et les parties dans l'Ă©tat oĂč elles se trouvaient avant ledit arrĂȘt et, pour ĂȘtre fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Douai, autrement composĂ©e ; Condamne la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat aux dĂ©pens ; Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile et l’article 37, alinĂ©a 2, de la loi du 10 juillet 1991, condamne la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat Ă  payer Ă  la SCP Le Griel la somme de 2 000 euros ;" Pour toute consultation veuillez cliquer sur l'onglet " POSEZ VOTRE QUESTION " Le locataire peut rĂ©silier le contrat Ă  tout moment, sous rĂ©serve de respecter un dĂ©lai de prĂ©avis d'un mois. Le congĂ© doit ĂȘtre notifiĂ© par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception ou signifiĂ© par acte d'huissier ou remis en main propre contre rĂ©cĂ©pissĂ© ou Ă©margement. Le dĂ©lai de prĂ©avis court Ă  compter du jour de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e ou de la signification de l'acte d'huissier ou de la remise en main propre. Le locataire est redevable du loyer et des charges relatifs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de la pĂ©riode couverte par le prĂ©avis, sauf si le logement se trouve occupĂ© avant la fin du prĂ©avis par un autre locataire en accord avec le bailleur. A l'expiration du dĂ©lai de prĂ©avis, le locataire est dĂ©chu de tout titre d'occupation du logement louĂ©.

article 14 1 de la loi du 6 juillet 1989